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jeudi, janvier 20, 2005
Des zoologistes annoncent la découverte de deux nouveaux lémuriens
vendredi 14 janvier 2005, 22h42
ANTANANARIVO (AFP) -
Des zoologistes américains ont annoncé vendredi avoir découvert deux nouveaux types de lémuriens à Madagascar, habitat principal de ces mammifères primates.
L'équipe du zoo Henry Doorly, dans le Nebraska, conduite par un généticien, Edward Louis, a indiqué qu'une de ces nouvelles espèces avait été découverte dans la forêt tropicale de la côte est, l'autre ayant été identifiée sur la côte ouest.
Ses travaux devrait être exposés en détail en décembre prochain dans le Journal international de Primatologie.
"La découverte de tout nouveau spécimen est remarquable ; celle de deux nouvelles espèces de primates est extrêmement importante pour la science et la protection" de l'environnement, a souligné le directeur du zoo, Lee Simmons, dans un communiqué.
Le lémurien découvert sur la côte est a été baptisé Lepilemur seali en l'honneur d'Ulysses Seal III, un ancien responsable de l'Union internationale de la protection de la nature, selon les responsables du zoo.
L'autre, repéré dans la région de Mitsinjo, a été surnommé Lepilemur mitsinjonensis.
Edward Louis mène depuis 1998 ses travaux en collaboration avec des agences environnementales et des institutions malgaches ainsi que des organisations de protection de la nature. Son équipe a prélevé l'ADN de quelque 1.800 lémuriens, ensuite relâchés dans la nature.
Madagascar abrite plusieurs dizaines de types de lémuriens, notamment le microcèbe de la taille d'une souris et le aye-aye aux grandes oreilles et à la queue touffue, doté de dents de rongeur et de doigts terminés par de longues griffes.
De nouvelles espèces sont régulièrement découvertes, tandis qu'en 1997 a été retrouvé l'Allocebus trichotis, l'un des plus petits lémuriens (quelque 80 grammes) dont on croyait l'espèce éteinte.
Categories ::Biologie::
posted by Olivier Pingot |
9:21 PM
Le tour du monde en 46 jours... par un albatros
vendredi 14 janvier 2005, 20h07
LONDRES (AFP) -
L'albatros accomplit régulièrement le tour du monde entre deux périodes de reproduction, l'un d'eux l'ayant effectué en 46 jours, indique une étude publiée vendredi par la revue britannique Science.
L'oiseau le plus rapide a parcouru 22.545 kilomètres en seulement 46 jours.
Le mystère sur le trajet migratoire de l'albatros vient d'être levé pour la première fois par le professeur John Croxall et son équipe de chercheurs du British Antarctic Survey.
Les scientifiques ont suivi pendant 18 mois le parcours de vingt-deux albatros munis de minuscules émetteurs.
La plupart des albatros quittent leur lieu de reproduction situé sur l'île de Georgie du sud (54°S 37°W), pour atteindre le sud-ouest de l'océan indien.
Douze des vingt-deux albatros ont fait un tour du monde complet. Trois albatros en ont même fait deux.
Les chercheurs ont été très surpris par les performances de l'oiseau. "Cette navigation révèle parfois des performances incroyables.
La navigatrice Ellen Mac Arthur mettra environ 68 jours pour réaliser le même parcours.
Les chercheurs espèrent utiliser ces découvertes pour améliorer la protection des albatros. Ils espèrent diminuer de 75 à 95% cent le nombre d'oiseaux tués chaque année en mer par la pêche à la palangre.
Dix-neuf des 21 espèces d'albatros sont sur la liste des animaux en voie d'extinction de l'Union internationale pour la Conservation de la Nature.
Categories ::Biologie::
posted by Olivier Pingot |
9:20 PM
La corneille a un sens inné pour créer des outils, selon une étude
jeudi 13 janvier 2005, 11h28
PARIS (AFP) -
Des corneilles de Nouvelle Calédonie peuvent fabriquer et utiliser des outils sans avoir été formées et sans avoir vu un adulte le faire, rapporte une étude à paraître jeudi dans la revue britannique Nature.
L'équipe de chercheurs de l'université d'Oxford, en Grande-Bretagne, dirigés par Alex Kacelnik, ont observé que de jeunes corneilles (Corvus moneduloides), âgées de moins de 80 jours et "sans aucun apport social", saisissaient instinctivement deux baguettes dans leur bec et les utilisaient pour atteindre de la nourriture placée dans une fente ou un trou.
L'expérience a été réalisée avec quatre oiseaux : deux avaient pu voir des hommes faire de même et deux autres ont utilisé cette technique uniquement par instinct, ce qui montre que la capacité de ces corneilles à se servir d'outils est au moins partiellement innée, ont conclu les auteurs de l'étude.
Ils reconnaissent qu'un apprentissage est nécessaire pour la maîtrise d'autres techniques, comme chez l'Homme. Ainsi, à l'état sauvage, les adultes découpent les feuilles d'un arbre d'une certaine façon, pour s'en servir ensuite comme outils. Les corneilles élevées en captivité "sculptent" également ces feuilles, mais n'obtiennent jamais une forme leur permettant de les utiliser.
Cette expérience, selon les chercheurs, "constitue la première démonstration de la fabrication spontanée d'un outil par un jeune vertébré sans influence extérieure".
Categories ::Biologie::
posted by Olivier Pingot |
4:42 PM
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